Hate d'avoir les premiers cours

Tony rangeait ses livres -sans magie pour une fois- quand il entendit frapper à la porte. Il attendit quelques instants et voyant le soleil brillant dehors il ouvrit une des fenêtres. La lumière illumina l'insigne des quatre maisons réunis et ricocha dessus pour aller éblouir Godric Gryffondor. Celui-ci pesta mais Tony n'y fit pas attention. Il se dirigea vers la porte où quelqu'un attendait. Il l'ouvrit délicatement et celle-ci grinça. Là il remarqua Morgane, cette fille qui avait été assez insolente lors de leur première rencontre. Il lui adressa un sourire et dit:

-Que puis-je pour vous Mademoiselle Gryffondor?

Le professeur avait pris un ton agréable et avait un sourir au lèvre.

-Bonjour professeur, je voulais m'excuser de mon insolence lors de notre première rencontre. Je voulais aussi vous demandé à quel date serrait le prochain cours de défence contre les force du mal.

Morgane appercut alors sur le mur le tableau de Godric Gruffondor, elle fut émue de pouvoir enfin le voir. Ces parent n'avait jamais vouluent lui montrer une photo de lui car ils disaient que son école avait été un échec total.

Tout a coup, Morgane ce rappella de la permission dont elle avait besoin pour faire la sortie dans la foret interdite. Elle détacha alors son regard du tableau et demanda au directeur de maison la permission qu'elle adorerait avoir.
-Monsieur le directeur, puis-le avoir votre permission pour allé dans la foret interdite lors de votre cour de défence contre les forces du mal?

Tony regarda l'air ébahi de cette jeune fille devant le tableau de son aïeul. Un petit sourire vint sur le coin de ses lèvres. Cependant ce sourire était légèrement hypocrite et il ne manqua pas de reprendre son air froid tout de suite après.

-Mademoiselle Gryffondor,commença-t-il sans prendre la peine de fermer la porte, vous me semblez bien impatiente, dites-moi? Et vous semblez aussi surestimer vos capacités. Cependant, votre aptitude à lire doit être en baisse, non? Je crois -j'en suis même sûr- avoir stipulé clairement que seuls les meilleurs seront acceptés à cet atelier et comment voulez-vous que je sache votre niveau si nous n'avons pas eu de cours? Votre aptitude à ne pas savoir lire, Mademoiselle, me laisse perplexe.

Il s'arrêta quelques instants et alla s'asseoir derrière son bureau un sourire narquois sur le coin des lèvres.

-Et, peut-être qu'un devoir pour rafraîchir vos ardeurs vous conviendrez?

Il la foudroya du regard mais se radoucit en un sourire hypocrite.

-Je vais être clément et accepter vos excuses Mademoiselle. Maintenant, sortez de ma vue, je vous prie!